• Les chroniques de Tortiland 1 : racket sur l'île.

    Bon, ce soir c'est votre maire délurée (que vous adorez tous comme une vraie déesse) qui est partie sur Tortiland pour y rencontrer du monde...

    Je suis donc arrivée sur une première île et j'ai pas pu m'empêcher de foutre le bazar. Quand je suis arrivée, il y a avait trois personnes : une fille (avec une ville hackée au passage) qu'on va appeler n°1, une autre fille qu'on va appeler n°2 et un mec qu'on va appeler n°3.

    Alors, quand je suis arrivée, on m'a dit bonjour puis n°2 demande à n°1 : "Allez ! Steuplait !". Je leur demande ce qu'il se passe, n°3 me répond : "Attend". J'ai donc cherché à comprendre par moi même. En fait, je me suis vite rendue compte que les deux zozios voulaient que l'autre meuf leur donne de l'argent. Le mec demandait 5 millions, la meuf n°2 ne demandait pas un montant précis. J'ai lâché un "pff... Z'êtes sérieux ?". En regardant leurs CR, j'ai pas pu m'empêcher de lâcher un soupir plus long : n°2 n'avait pas le badge d'économie de clochette, du tout. Par contre, celui des dépenses, elle l'avait en or ! Et n°3 avait le badge qui le situe entre 100 000 et 1 million. J'ai doucement rigolé. Après un peu de blabla avec n°2 (n°1 et n°3 échangeant leurs codes amis), je lui demande : "Mais pourquoi tu lui demandes du fric ?" elle me répond : "j'suis pauvfe".

    Alors là, c'est le pompon : j'ai pas pu m'empêcher de grincer des dents, je lui dit donc : "Mais tu crois qu'on l'a facile le fric ?" (sans compter que n°2 avait la perruque noeud pap de Carla...), elle me répond non. Curieuse, je lui demande donc pourquoi elle fait pas son fric elle même en chassant et pêchant sur Tortiland (bon, sur cette île c'était un peu compliqué vu que celui qui a généré l'île était à midi chez lui.). Mais bon, j'ai eu le malheur de mettre son nom, elle s'emballe en disant qu'elle n'était pas la seule à quémander du fric et que n°3 aussi en voulait.

    Je lui répond calmement que comme n°3 était occupé à donner son CA et vu qu'il n'y avait qu'elle qui me répondait, alors c'était normal que je l'interpelle personnellement. Enfin bref, à la fin, elle s'est muré derrière ses "OK, c'est bien". J'avoue, j'ai toujours du mal à comprendre ceux qui demandent du fric à Tortiland. Surtout lorsqu'il est plus de 19h. Et comme ce sont quasiment les seuls horaires auxquels je me pointe sur l'île, je le sais bien qu'il y a largement de quoi se faire des clochettes faciles. Parce que qui dit nuit, dit scarabées et requins. Ok, l'île était de jour mais bon, il suffit de rentrer pour repartir en tentant de rembourser son billet (rapporter des trucs qui se vendent plus de 1 000 clo ou revendre des trucs à la gamine de l'île pour espérer arriver à plus de 1 000 clo en plusieurs tours. Et oui, j'ai déjà réussi à lui extorquer plus de 1 000 clochette en plusieurs aller-retours avec des morphos bleus).

    Mon prochain article de cette rubrique sera très... critiquable. Enfin, vous verrez. Bon, après je les ai laissés, j'suis partie en excursion, j'ai rempli mon panier fissa et je suis rentrée à Pitaya.

    À plus tard pour la prochaine chronique de l'île !

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